parution le 03/10/2024
ISBN 978-2-490364-42-8
53 pages
12 euros
Autre chose à faire
dimanche 9 Octobre 2022, par
(MM box, tel est le petit nom de cette boîte 80’s offerte par Claro. J’y mets les cadeaux qui me viennent en droite ligne de la publication de Musée Marilyn. Cette fois, le Paris de Perec donné par Juliette, des Buveurs d’encre, après la soirée qu’on peut désormais écouter en ligne, et un petit chocolat offert par la RTS lors de mon passage dans l’émission Vertigo)
Il aurait fallu que je revois Blonde pour développer longuement ce que je n’aime pas dans l’adaptation du roman de Joyce Carol Oates.
Il aurait fallu que je retrouve le titre de ce film dans lequel il est question de James Dean et de Roy Schatt, un photographe qui fit aussi le portrait de Marilyn période Actors studio, film qui, comme l’adaptation de Blonde, joue sur les photos célèbres, soudain "animées" (Roy Schatt est joué par Robert Pattinson, autant dire que le pauvre James Dean s’efface au profit de son photographe).
Il aurait fallu, également, que je parle d’Annie Ernaux, des Années et de Passion simple, autrement qu’en la mentionnant. Mais j’ai fait autre chose. J’ai monté un dossier où il est question de Delphine Seyrig et de notre chère Delphine Bretesché. Cela m’a pris des jours (et des nuits de cauchemars, aussi). Puis j’ai repris "mon" Perec, un livre qui s’appellera Lier les lieux, élargir l’espace et fera 53 pages. Il paraîtra, si tout va bien, fin 2024.
Je n’ai rien fait d’autre chose (si : nourrir la rubrique Musée Marilyn de mon site, quasiment chaque jour), mais c’est déjà beaucoup. J’ai quatre livres en tête qui, par moments, se télescopent : Bruits, ce Delphines dont j’aurai des nouvelles dans cinq mois, Lier les lieux et encore, à venir, un nouveau texte sur le lac de Grand-Lieu. À partir du 17 octobre, L’esprit du lieu et L’aiR Nu vont en effet s’associer : nous retournerons en résidence lire, écrire, faire le tour du lac et rencontrer du monde. J’en reparlerai ici, bien sûr.
Bref : pardon pour le style quasi télégraphique du semainier, mais cela me suffit pour ne rien dire de Blonde et laisser le Nobel couronner une écrivaine française. Dire seulement : une écrivaine française pour la première fois. Quant au déchaînement de haine que la nouvelle provoque, elle est si médiocre que je n’en parle pas.
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